L’affaire SNC-Lavalin

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M. Amos, de quel côté penchez-vous concernant l’affaire SNC-Lavalin? L’ancienne ministre de la Justice du Canada Mme Jody Wilson-Raybould veut se vider le cœur alors que votre chef, le Premier Ministre du Canada, Justin Trudeau, veut l’empêcher de parler.

M. Amos, de quel côté penchez-vous concernant l’affaire SNC-Lavalin? L’ancienne ministre de la Justice du Canada Mme Jody Wilson-Raybould veut se vider le cœur alors que votre chef, le Premier Ministre du Canada, Justin Trudeau, veut l’empêcher de parler.
Il y a des petites choses que vous ne voulez pas que la population sache concernant ce qui s’est passé entre SNC-Lavalin et la Lybie.
SNC-Lavalin avait été avisé sévèrement par l’ONU (Organisation de Nations Unies) de ne pas aller en Lybie parce que le pays était dirigé par un dictateur nommé Kadafi. (Les contrats en Lybie) visaient à construire des prisons, des
prisons qui appartiennent à un dictateur, pas des centres hospitaliers. Mais corrompu un jour, corrompu pour toujours.
De votre côté, vous étiez inquiet des 9 000 emplois de la compagnie au Canada. Dites-nous : combien de personnes sont mortes aux mains de Kadafi?
Les extras et les surplus que SNC-Lavalin nous a fait payer collectivement, c’était pour graisser la patte d’un dictateur.

Rhéal Bertrand
Mansfield