Malgré le fait que je partage certains aspects de votre opinion exprimée dans votre éditorial du 29 janvier dernier, je crois qu’un aspect fondamental est absent dans votre article, et doit être mis au point. Nos 4 gestionnaires locaux, ont de grandes
responsabilités, mais aucune autorité.
Malgré le fait que je partage certains aspects de votre opinion exprimée dans votre éditorial du 29 janvier dernier, je crois qu’un aspect fondamental est absent dans votre article, et doit être mis au point. Nos 4 gestionnaires locaux, ont de grandes
responsabilités, mais aucune autorité.
Ceci a résulté dans une centralisation de pouvoir et autorité à Gatineau, et ces
gestionnaires sont malheureusement déconnectés de nos réalités rurales. Il
faut se rappeler qu’en 2015, l’Hôpital Communautaire du Pontiac était le seul
établissement sur 6 du territoire du CISSSO, à équilibrer son budget de 36 M$, et ce, avec le plus petit nombre de gestionnaires locaux comparativement aux autres établissements, soit de seulement 19.
La solution, telle qu’identifiée par Mme Lamarche à Maniwaki, est d’augmenter
les gestionnaires locaux, mais aussi leur léguer l’autorité d’appliquer les changements nécessaires sur-le-champ pour conserver les services fournis.
Nous devons supporter nos gestionnaires du Pontiac, et Gatineau doit être à leur écoute, plutôt qu’imposer leur gestion descendante, qui s’est avérée désastreuse.
Dr. Thomas C. O’Neill
SHAWVILLE