Pour rectifier un article et l’ancienne Mine Moss

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Cette lettre est pour rectifier un article publié au sujet d’une manifestation solo à la réunion du Conseil, le 11 décembre 2019.

Cette lettre est pour rectifier un article publié au sujet d’une manifestation solo à la réunion du Conseil, le 11 décembre 2019.
La journaliste Mo Laidlaw a écrit qu’une femme (moi-même) bloquait l’accès et qu’elle est entrée avec difficulté. Étant donné les portes doubles, le large passage et la présence de seulement six ou sept résidents, le commentaire semble exagéré. 
En novembre 2018, nous avons abattu toutes les chèvres sur notre ferme à cause des symptômes de toxicité au molybdène. Des études à l’ancienne Mine Moss (2009-2019) ont établi un niveau de risque hautement inacceptable, mais non inattendu. Des photos de l’évidence biologique et physique illustrent la migration de la pollution minière à travers une région importante. (voir le site web ci-bas.)Cette pollution toxique est aussi destructive à cause de la pierre calcaire
souterraine facilement dissoute. À coté du ch. Westbrook (et de notrepuits artésien), un glissement de terrain avance. Et les eaux stagnantes indiquent la formation d’un gouffre avec argile à Leda qui remonte à la surface. Voyageant sous terre, des composés de fer semblent réapparaître des centaines de mètres plus loin dans les ravins effondrés de notre ferme.
(Selon moi) la pollution est causée par une réaction chimique peu susceptible de
diminuer, et est peut-être en croissance. Les métaux lourds persistent dans l’environnement  exposant plantes, animaux, et humains à l’empoisonnement aigu et chronique.
Des recherches via  l’Accès à l’information montrent des tentatives du gouvernement pour dissimuler la pollution avec leur consultant (SNC Lavalin), ainsi que la censure explicite des journalistes de Radio-Canada référant à des intérêts économiques de l’État.
Ma participation à la réunion du 11 décembre était pour, à nouveau, aviser le Conseil de leurs responsabilités. La mairesse Labadie a prétendu que les pancartes de manifestation sont interdites dans l’édifice. Mon discours au sujet de cette affaire importante fut limité à seulement trois minutes pendant la période des questions. Les efforts de la mairesse pour caractériser un problème environnemental à grande échelle comme une inquiétude personnelle sont
inadmissibles. Ses conversations avec la CCN, assurances de non-contamination d’un propriétaire de terres adjacentes, et un supposé manque d’expertise et jurisdiction… ne justifient pas son inaction. Les autres conseillers ont refusé de faire des commentaires.
Le conseil municipal et les gestionnaires doivent faire preuve de diligence et jugement professionnel et faire face aux risques à la sécurité publique avec d’autres niveaux de gouvernement. Le document plus bas permet d’éclaircir certaines interactions de la mairesse avec la CCN. Une demande pour que le procès-verbal de la réunion inclut la question/réponse et mentionne le site web
n’a pas reçu de réponse à date.

Lucinda Sanchagrin 
MUNICIPALITE DU PONTIAC
www.pollutiondenialcanada
capitalregion.com/