Ces riches déconnectés !

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Pierre Beaudoin, le pdg sortant, et la famille Bombardier sont une honte pour la société québécoise. Leur arrogance dépasse l’entendement. Leur obsession du pouvoir et de la richesse est à vomir. Leur mépris du peuple québécois révolte.

Pierre Beaudoin, le pdg sortant, et la famille Bombardier sont une honte pour la société québécoise. Leur arrogance dépasse l’entendement. Leur obsession du pouvoir et de la richesse est à vomir. Leur mépris du peuple québécois révolte.
Si ces riches faisans sont devenus millionnaires, c’est grâce à nous, les Québécois. Nous venons tout juste de les sortir du trou en leur consentant des milliards de dollars en subvention sans pratiquement rien exiger en retour. Dont ils se sont empressés de s’approprier quelques millions en salaires et autre bonis juteux. Mais en définitive, c’est encore nous qui les achetons leurs motoneiges et autres bébelles du genre.
Vous pouvez bien avoir le génie d’inventer n’importe quelle maudite belle patente, si vous ne trouvez pas d’acheteurs, vous mangerez vos bas et crèverez, tout brillant patenteux que vous soyez. Donc, c’est à vous et à moi que ces grossiers personnages doivent leur fortune en fin de compte. Cessons de nous montrer “politically correct” avec ces richards qui se foutent allègrement de la gueule des gens du peuple et continuent de nous prendre pour des caves, comme aime le penser Laurent Beaudoin.
Les Falardeau et les Chartrand doivent se retourner dans leur tombe. Le Québec manque cruellement les voix de ces hommes qui ne mâchaient pas leurs mots pour dénoncer les excès de ces tristes sires. Il ne faut pas compter sur nos politiciens frileux pour les remplacer. Surtout pas eux, qui fréquentent probablement les mêmes cocktails que ceux-là. Entre gens du monde…
Quand ces patriciens parvenus aux costumes Armani et aux ongles manucurés iront bouffer du pissenlit par la racine – et que nos politiciens lèche-bottes les encenseront comme ayant été de grands québécois – nous devrons garder un devoir de mémoire : celui de ne pas essuyer un pleur ni d’éprouver le moindre regret de les voir disparaître.

Francois Brisebois
AYLMER