Photo de doite : les motoneiges équipées de clous ajoutés, comme sur la photo, à droit, continueront à être légales.
Peter L. Smith (tr. L. T.)
Photo de doite : les motoneiges équipées de clous ajoutés, comme sur la photo, à droit, continueront à être légales.
Peter L. Smith (tr. L. T.)
Une entente est survenue récemment entre le ministère des Transports du Québec et la Fédération des clubs de motoneiges du Québec (FQMQ) pour éliminer l’interdiction
d’ajouter des clous supplémentaires aux chenilles des motoneiges. "Ainsi, la sécurité des motoneigistes, de même que l’importante activité économique que génère cette forme de sport touristique hivernal, ont été sauvegardées", déclarait une communiqué de presse de la FCMQ.
La question des clous ajoutés s’est posée lors de l’étude d’un projet pilote visant à bannir les clous non installés en usine sur les chenilles des motoneiges: l’ajout de clous supplémentaires sur les chenilles après l’achat du véhicule allait devenir illégal. La Sûreté du Québec pouvait déjà imposer des amendes aux motoneigistes qui traversaient un chemin public avec une motoneige équipée de clous ajoutés.
Le Premier Ministre Philippe Couillard a récemment nommé Jacques Daoust au poste de
ministre des Transports. Celui-ci sera responsable d’inscrire dans la loi les termes de cette nouvelle entente. Entre temps, on encourage les motoneigistes à posséder et à garder avec eux une copie de la nouvelle entente qu’on peut trouver sur le site web de la FCMQ.
La présidente du conseil
d’administration de la FCMQ, Mme Denise Grenier, faisait remarquer que l’industrie de la motoneige génère annuellement plus de 2 milliards de dollars en activités économiques et crée des milliers d’emplois.