Dans votre article je trouve que le comité C.C.O.F part du méchant pied en affirmant que les citoyens avaient voté pour la fusion lors des dernières élections municipales du 3 nov. 2013 et ce, en plus de faire signer une pétition sur des informations complètement trompeuses, donc la pétition pourrait être non recevable.
Dans votre article je trouve que le comité C.C.O.F part du méchant pied en affirmant que les citoyens avaient voté pour la fusion lors des dernières élections municipales du 3 nov. 2013 et ce, en plus de faire signer une pétition sur des informations complètement trompeuses, donc la pétition pourrait être non recevable.
Pour débuter, j’invite les membres du comité à prendre connaissance de la
résolution 150-08-2013 du 7 août 2013 de la Municipalité de Mansfield et de la lire dans son intégralité et qui refuse unanimement toute fusion et de plus demande par sondage d’opinion publique la question suivante: «Croyez-vous que la Municipalité de Mansfield-et-Pontefract devrait examiner la possibilité d’un regroupement municipal (fusion) avec une ou plusieurs autres municipalités avoisinante (s)” OUI ou NON.
Ces municipalités avoisinantes sont Fort-Coulonge, Ile-du-Grand-Calumet, Litchfield et Waltham et, selon mes informations, seulement Fort-Coulonge s’est montré intéressé à se fusionner à Mansfield et ce depuis les élections de Nov. 2013.
Toutes les données sur les municipalités peuvent être vérifiées sur le site internet MAMROT du gouvernement du Québec mais brièvement rappelons quelques
données inconnues du grand public pour l’année 2016.
Mansfield: Municipalité de 525 km2 avec + ou – 2100 résidents permanents et + ou – 1400 résidents saisonniers avec une évaluation municipale de 216 millions$
qui reçoit 7 800$ en péréquation (aide gouvernementale du Québec) et est
francophone à près de 90 %.
Fort-Coulonge: Municipalité de 3.3 km2 avec + ou – 1200 résidents permanents avec une évaluation municipale de 60 millions$ qui reçoit cette année 332 300$ en péréquation (aide gouvernementale) probablement à cause de sa précarité financière due à l’économie actuelle et ce, aidant les propriétaires à payer moins de taxes municipales et est aussi municipalité francophone à près de 90 %.
Donc, à mon humble avis, avant de se lancer dans une aventure dont personne ne connait l’issue en plus de connaitre ce qui s’est produit ailleurs en province lors de fusion, continuons à se comporter en bons voisins avec collaboration-coopération, entraide sociale et économique entre les deux municipalités.
De plus, depuis les années 80, de nombreuses études ont été réalisées (en plus de d’autres études gouvernementales et d’une firme indépendante) et aucune ne s’est avérée rentable pour Mansfield. Pour se fusionner il faut des raisons et avantages économiques
Finalement notons bien que dans la M.R.C. de Pontiac, aucune autre municipalité que Fort-Coulonge semble intéressée aux fusions, mise à part le gouvernement du Québec qui réduirait considérablement sa péréquation (aide gouvernementale) et de plus, le lendemain d’une fusion, il n’y aura pas plus d’élèves dans nos écoles et pas plus de Tim Hortons ou Wal-Mart, car le bassin de population demeurerait le même.
Leslie L. Bélair MANSFIELD