Lors du dernier article du Journal du Pontiac consacré à la Municipalité de Pontiac, nous avons maladroitement employé le terme de harcèlement subi par des employés qui sont aujourd’hui contraint de saisir la justice pour recevoir réparation après avoir perdu leur emploi au service de l’équipe municipale de Pontiac.
Lors du dernier article du Journal du Pontiac consacré à la Municipalité de Pontiac, nous avons maladroitement employé le terme de harcèlement subi par des employés qui sont aujourd’hui contraint de saisir la justice pour recevoir réparation après avoir perdu leur emploi au service de l’équipe municipale de Pontiac. Le Directeur Général de la municipalité, Benendict Khun, a porté à notre attention qu’il
eut été plus judicieux d’employé le terme « d’allégations de harcèlement » car ceci n’est effectivement aucunement prouvé et donc ce sera à la justice
de démontrer à l’encontre du ou des responsables municipaux leur innocence ou leur culpabilité dans ce dossier.
Il n’en reste pas moins que 3 cas sont avérés, ce qui constitue pour le moins un faisceau important de présomptions. M. Alain Larose a pour sa part bien confirmé que son intention de poursuivre la municipalité était toujours motivée et que la municipalité n’avait en rien proposé des éléments pouvant aboutir à une entente comme elle avait pu le laisser entendre. « Je les poursuis sur les 2 dossiers qui me lient à la municipalité de Pontiac, à savoir le dossier d’urbanisme et la rupture de mon contrat d’emploi à l’éco centre, » a-t-il affirmé.
Un nouvel élément révélé par nos confrères du Droit secoue les élus du conseil et fait état d’une affaire de conflits d’intérêts concernant l’achat-vente d’un véhicule. C’est le conseiller Eddie Mc Cann lui-même qui qualifie la situation de « conflit d’intérêts ». Un camion a été cédé au mari de la conseillère qui siègeait au comité d’administration en charge de la vente. Pour le maire Roger Larose, rien n’a été fait illégalement mais ce n’est pas de l’avis de son opposant, Eddie Mc Cann. Il a fallu tout de même 2 votes pour que l’attribution se fasse et le dernier en l’absence d’un conseiller opposé à cette attribution. Au moment où la crédibilité de la municipalité est mise à mal, ce dernier épisode semble être bien inopportun.
Arnaud de la Salle