Merci, Journal du Pontiac et M. Ryan

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Les gens de notre équipe lisent régulièrement vos articles que notre collègue madame Johanna Echlin du OFWCA nous envoie en revue de presse.  Je les traduis au mieux, m’aidant de Google.  J’ai été particulièrement sensible à un de vos derniers textes (le 23 mai 2018, page 27),  celui où vous parliez d’u

Les gens de notre équipe lisent régulièrement vos articles que notre collègue madame Johanna Echlin du OFWCA nous envoie en revue de presse.  Je les traduis au mieux, m’aidant de Google.  J’ai été particulièrement sensible à un de vos derniers textes (le 23 mai 2018, page 27),  celui où vous parliez d’un soir paisible, en bordure de la rivière de Outaouais, à entendre la vie grouillante de la nature. Bien sûr vous avez bien dit quelques mots sur Charlk River. Mais surtout, vous avez touché le coeur du problème : l’importance morale et vitale de préserver aujourd’hui afin de transmettre à nos petits-enfants. Pour que la terre et les humains continuent à respirer et à cohabiter.
Merci pour ce texte inspirant et rassurant sur la nature bienveillante des humains. Si la bienveillance n’était pas dans la nature humaine,  nous ne serions pas rendus jusqu’à maintenant.  La perspective d’une nouvelle journée est une joie ! Et, à plusieurs, nous formons un puissant moteur pour faire avancer les choses pour des lendemains qui chantent. Peut-être avez-vous lu ce magnifique écrit de Garbrielle Roy «  Cet été qui chantait » ?  Une ode à la beauté de la nature!

Lucie Massé
MONTREAL